La vue de ce spectacle déclencha chez le deuxième un orgas
me puissant, et je sentis les spasmes de son éjaculation sur les parois de mon vagin. Je jouis en même temps, sans pouvoir retenir un
cri tellement l’orgasme était violent. Tu te retiras de moi, mes mains toujours emprisonnées dans une des
tiennes, tu me penchas en avant pour bien dégager la vue de mon fessier et tu jouis à ton tour, dans un puissant râle. Ta main libre étala
ta semence sur mes fesses et mon sexe.
Epuisés, nous nous allongeâmes. Un instant, je portai les mains à mon bandeau pour l’ôter. Mais dans un éclat de rire, plusieurs mains vinrent me maintenir les bras.
Nous sommes rentrés. Moi, toujours les yeux bandés, les mains attachées. Tu as abandonné mes tendres bourreaux sur le bord de la route, non sans qu’ils m’aient donné chacun encore des baisers brûlants.
Arrivés à la mai
son, tu m’a détachée, tu m’as fait un grand sourire et tu m’a embrassée.
« Merci », ai-je soufflé. Tu as juste répondu : « Montons dans la chambre, j’ai envie de toi, là, maintenant ».
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