Dimanche 8 avril 7 08 /04 /Avr 21:42

Nous sommes assis à la table d’un café, à bavarder de choses et d’autres. A la table voisine, une charmante femme regarde discrètement mon homme, un sourire sur le coin des lèvres.

Lui réponds par des sourires aussi.

Tant et si bien qu’au bout d’un moment, je me lève et lui demande de nous rejoindre à notre table. Au moins nous pourrons discuter tous les trois.

 

Nous échangeons nos prénoms. Je la trouve vraiment charmante, le lui dis, et nous continuons la discussion. Chéri ne se gêne pas pour draguer la belle, ce qui m’amuse beaucoup.

 

Au bout d’un moment, madame décide d’aller aux toilettes et je lui emboîte le pas. Arrivés sur les lieux, je lui demande directement si elle trouve mon mari à son goût… Devant sa réponse affirmative, je lui affirme que cela ne me dérange pas le moins du tout, et que j’aimerais que nous nous occupions de lui toutes les deux. Si elle est d’accord, nous pouvons aller dans un hôtel ou dans un club, à sa convenance, notre maison étant squattée par notre progéniture….

 

C’est la première fois que je me permets ce genre de proposition…. Je suis un peu inquiète de la réponse….. mais à part une condition que j’accepte, la pulpeuse est plutôt enchantée de tournure que prennent les événements.

 

Revenues à la table, nous nous disons au revoir, je dis à mon amour que je l’emmène quelque part. Je conduis, il n’a qu’à se laisser guider. Sur le chemin, je lui dis à quel point j’ai été excitée à l’idée de le voir faire l’amour à cette personne.

 

Nous voici dans une chambre, chéri commence à avoir une idée de la torture qui l’attend. Mais pour laisser le suspens, je lui demande d’aller prendre une douche. A son retour, je l’embrasse tandis que ma comparse l’enserre de ses bras. A nous deux, nous le déshabillons doucement, accompagnant chacun de nos gestes de baisers et de caresses. Nos bouches se délectent, nos mains s’emmêlent sur son corps, ses fesses, ses tétons, sa queue dressée, ses couilles si douces.


Il ne laisse pas sa part, et nous caresse toutes deux, ses mains et ses lèvres avides de découvertes.  Nos mains parfois s’égarent sur le corps l’une de l’autre, et les caresses  se font à trois, pleines de douceur et de désir.

 

Je le regarde la pénétrer, émue de voir cet homme que j’aime prendre autant de plaisir. Je crois bien que je l’aime encore plus à ce moment-là. Je ne peux m’empêcher de le caresser de l’embrasser…..

 

 

Par Bidi - Publié dans : bidi
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 8 avril 7 08 /04 /Avr 21:31

je préfèrerais être près de toi pour entretenir un état un peu ....

ferme, et goûter aussi, c'est l'heure du goûter

........

sentir ton sexe dans ma bouche

tourner ma langue autour du gland

............

passer la langue le long de ta tige

vers tes boules

pour les aspirer dans ma bouche

l'une après l'autre

et continuerla visite du bout de la langue

vers ton petit trou pour l'humidifier et le lubrifier

pêndant que ma main va et vient sur ta bite tendue

et ensuite, on, échange les rôles :

ma bouche sur ta queue

ma main qui va fouiller derrière des couilles

et mon doigt qui entre vers ton intimité

et on recommence le va et vient

la bouche, les mains, les seins

et ta queue, tes boules, ton trou

toutes les combinaisons possibles

dans tous les sens

hummmmmmmmm

j'aimerais y être

........

tu t'es mis à l'aise ?

.............

imagine que c'est moi qui te tient dans ma main

............

moi qui serre ta queue fermement, mais doucement

avec des coups de langue juste sur le bout

et l'autre main qui te tripote les couilles et l'anus

c'est moi qui te branle

c'est moi qui te suce

et tu pourras gicler sur mes seins quand tu voudras

écarte tes jambes que j'aie accès à ton petit cul

humm, tu ma fait juir

ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

j'adore, tu sais

je t'imaginais avec ta queue dans ma main

je rêve de te sucer, toi

hummmmmm un plaisir, domage que je n'ai pas pu ni te voir ni t'entendre

mais je le ferai en réel

et tu auras un max de plaisir

je te lèche de partout partout

Par Bidi - Publié dans : bidi
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 5 février 1 05 /02 /Fév 16:18

Quelques couples, attirés par mes cris et le bruit des chaînes sont arrivés, mais il fait si sombre qu?on ne peut rien voir.

Tout à coup, la lumière s?allume et un court instant, je suis aveuglée. On nous vit et on nous entend depuis la grande salle, des couples se rapprochent. J?en distingue quelques-uns qui assistent au spectacle que nous donnons et commencent à se caresser.

Je distingue une ombre qui s?approche de mon visage, pour le regarder plus intensément, presque pour s?assurer que je vais bien? Oui, oui, je vais bien, je vais très bien même. Je profite à fond du moment et du plaisir qui m?envahit. Il s?approche encore, cette fois, je distingue son corps, son ventre est à hauteur de mon visage. J?étends une main pour lui caresser les fesses, il s?approche encore. Maintenant, son sexe est à hauteur de ma bouche. Je ne vais pas me priver de ce plaisir.

Je commence par goûter son sexe, ma langue sur son gland, ma main autour de sa verge. Ma langue tourne autour, dans u  sens, dans l?autre. Puis je le prends dans ma bouche. Il est bien dur. Ses mains se promènent sur moi, sur mes seins, sur mon ventre, descendent vers mon sexe. Dans ma position, je suis toute offerte. Il a une vue imprenable sur mon corps, sur mon chéri qui me pénètre, en même temps qu?il ressent la caresse que lui procure ma bouche.

Après ses mains, sa bouche parcours mon ventre. Je ressens des caresses sur ma chatte, sans pouvoir dire qui me les procure. Mais c?est délicieux.

Je sors son sexe de ma bouche pour lécher les alentours, l?intérieur des cuisses, ses couilles un peu poilues mais bien dures, le sillon qui mène à l?anus. Je le sens qui écarte légèrement les jambes. Cette caresse a l?air de lui plaire. Ma langue s?immisce à présent dans le sillon, tans dis que mon doigt s?insinue doucement dans son petit trou. Il gémit, c?est un bonheur de le sentir aussi excité. Ses mains et sa bouche continuent leur travail.

Je reviens doucement vers ses couilles, et j?en prends une entière dans la bouche, puis l?autre. « Oh oui ! » je l?entends qui râle, mon homme continue de me pénétrer, les mains continuent à me parcourir et me caresser. Je jouis.

Une, puis l?autre, et on revient à la première? une de ses mains a délaissé mon corps pour se masturber, se jambes enserrent mon visage, comme pour s?assurer que je ne vais pas quitter la place. J?imagine ces deux hommes se faisant face, pour me donner un maximum de plaisir et en prendre autant. Mes pieds toujours attachés, ma petite chatte totalement offerte à leur vue et leur caresses. Je reçois quelques petites claques assez douces sur mon sexe, c?est très excitant. Je suis une vraie fontaine. Et je jouis encore.

Mon visiteur maintenant accélère le rythme, je le sens de plus en plus dur, de plus en plus serré autour de mon visage. Je continue à le sucer, à lui prendre ses bourses dans ma bouche, à tirer doucement dessus avec mes lèvres avant de prendre l?autre. Mon mari aussi accélère. Je jouis au moins pour la dixième fois. Plus rien n?est important que nos corps et le plaisir donné et reçu.

Dans un cri, je le sens se vider sur mes seins, c?est délicieux. Ses mains me massent avec sa semence, mon petit c?ur, de l?autre côté, de plus en plus excité par l e spectacle, jouit dans un râle.

Je sens leurs mains qui me caressent encore. Puis mon charmant visiteur m?embrasse, me remercie pour mes soins. Je suis encore ailleurs, épuisée par les orgasmes successifs. Je l?entends qui demande mon prénom, qui me susurre à l?oreille que c?était merveilleux, que je suis une vraie femme. Il m?embrasse encore et s?éloigne, en laissant traîner encore ses mains sur mon corps qu?il a pris soin d?essuyer.

Mon amour me libère de mes chaînes, me prend contre lui pour un baiser des plus tendres. Je l?aime, cet homme-là, et plus encore dans  ces moments de plaisir.

Par Bidi - Publié dans : bidi
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Lundi 5 février 1 05 /02 /Fév 15:53

Ce jeudi-là, nous étions allés dans un sauna-club, pour dîner et passer la soirée.

Après dîner, nous sommes allés dans la piscine. Quelques couples présents se caressaient gentiment, après quelques moments passés entre le hammam et le bar, nous sommes montés à l’étage, voir les coins câlins.

Dans la grande salle de passage, quelques couples étendus sur le matelas rond se caressaient, se léchaient, des spectateurs de ces ébats étaient assis autour et regardaient, parfois eux-mêmes en se caressant. Les salons étaient tous occupés, parfois par un couple, parfois par deux. Tout au fond du couloir, une femme sur une table gynéco se faisait lécher. Dans le donjon, très sombre, personne n’était installé.

On entendait les gémissements, soupirs et cris des femmes dans les différents endroits. Les couloirs qui mènent aux salons accueillaient des couples qui trouvaient un angle accueillant pour pousser un peu plus loin leur exploration de l’autre… Nous avons-nous aussi commencé à nous caresser  un peu dans le couloir, mais cela manquait et de confort, et d’intimité.

Dans la grande salle, deux siège étaient libres, nous nous y sommes installés et j’ai commencé à sucer mon homme qui ne perdait pas une miette du spectacle : le grand matelas rond accueillait 4 ou 5 couples. Les échanges entre couples allaient bon train, du fait de la promiscuité. Une femme se faisait lécher pendant qu’elle caressait les seins d’une autre, deux hommes s’occupaient du corps d’une femme allongée sur le dos, dont on entendait les gémissements de plaisir. Un couple faisait l’amour sans plus se soucier des spectateurs. Je tournais le dos au spectacle de la salle, mais je dégustais celui de la tige bien dressée de mon mari entre mes mains et ma bouche. Nous désirions tous deux aller plus loin dans nos actes. Nous installer sur le lit rond avait quelque chose d’excitant et angoissant à la fois. Mais nous ne nous sentions pas prêts pour cela.

Nous sommes retournés dans le donjon. Ce n’est pas que le confort fût le thème du lieu, mais au moins, il y avait de la place. Mon mari m’indiqua un endroit très sombre, où je distinguais une table. Il me demanda de m’y installer.

Il n’y avait de place que pour le dos. Ma tête reposait à peine sur le bois, et mes jambes pendaient dans le vide. Aussi, pour plus de confort, j’ai posé mes talons tout près de mes fesses. Chéri pendant ce temps s’était introduit sans aucune difficulté dans ma fente dégoulinante,  excités que nous étions par les scènes auxquelles nous venions d’assister, et les caresses prodiguées.

Le sentir me pénétrer provoque à chaque fois chez moi une sensation que j’ai du mal à décrire. Des milliers de petits fourmillements qui partent de mon ventre et se propagent dans tout mon corps, un sentiment délicieux d’être envahie et possédée par l’amour de ma vie, ajoutés à une excitation très humide de la région de mon sexe. Je m’ouvre et le sens s’engouffrer dans mon ventre, si doux, si chaud…

Sa main vient doucement caresser mon petit bouton d’amour, le saisir entre ses doigts et le rouler, le pinçoter, tandis que son autre main part à la recherche de mes seins pour en titiller le téton, le pincer, le tirer.

Mes mains s’accrochent aux montants de bois de la table. Je ne vois rien tant il fait sombre, mais je sens des poignées que je saisis.

Il attrape une de mes cheville pour la monter à hauteur de son cou, et là, je sens une attache m’enserrer la cheville. Dans un bruit de chaînes, l’autre pied subit le même sort. Me voilà attachée, offerte aux assauts de mon amour. Il ne se gêne pas d’ailleurs, pour mon plus grand plaisir. Dans cette position, je sens son sexe raidi qui me pénètre aussi profond qu’il lui est possible. Ma chatte est littéralement défoncée par les coups de boutoirs qu’il m’impose. Je m’accroche comme je peux aux poignées et aux montants de la table. Ma tête est à présent dans le vide, et je dois lutter pour la maintenir droite . Ses mains sont revenues s’occuper de mes seins et de mon clito. Je suis à lui, entièrement à lui, et j’aime ça.

Par Bidi - Publié dans : bidi
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 14 janvier 7 14 /01 /Jan 21:18

Sentant que votre plaisir n’était plus très loin, vous décidâtes de calmer le jeu et de changer de position. Mon lécheur fou vint s’allonger près de moi, et je fus placée sur lui, empalée sur sa tige bien raide. Tu t’es placé derrière moi, en m’embrassant dans le cou, pour me dire que je vous prendrai tous les deux. Puis tu t’es introduit d’un coup, juste à côté de ton copain. Je me disais que tu devais sentir son membre contre le tien, et tu devais aimer… Tu m’as chuchoté à l’oreille de sucer le troisième, ce que j’ai fait avec grand plaisir. C’est toi à présent qui me tenais les bras. Je vous sentais là, tous les deux, je sentais votre compagnon dans ma bouche et j’avais une sensation de plénitude jamais ressentie à ce point. Totalement soumise, à la merci de trois hommes qui en voulaient à mon plaisir. Et délicieusement esclave. Tu introduisis un doigt dans mon petit orifice, en me chuchotant qu’à présent, j’étais prise par tous les bouts. Et puis un second doigt vint rejoindre le premier, et un troisième. Ecartelée, pénétrée autant qu’on peut l’être, je laissai faire les queues expertes qui me procuraient tant de plaisir. Je jouis une nouvelle fois, les spasmes qui secouaient mon ventre étant de plus en plus violents.

Mon sucre d’orge se faisait bien humide, dans ma bouche, il limitait ses mouvements, il était évident qu’il essayait de contrôler son orgasme imminent. J’aurais tant voulu le voir !

Tu quittas ma grotte, en la laissant à ton comparse, puis tu me pénétras avec mille précautions par l’orifice que tu avais si bien préparé. Je n’en pouvais plus de plaisir. Depuis que vous aviez commencé votre petit manège, je n’arrêtais pas de jouir. Vos mouvements se synchronisèrent pour me prendre totalement. Dans ma bouche, le sexe se faisait de plus en plus dur et humide, les gémissements de son propriétaire devenaient un râle permanent. Il réussit à articuler une demande pour éjaculer sur ma poitrine. Aussitôt, son copain se décala un peu, tout en continuant son va et vient, et tenant fermement mes seins entre ses mains, les lui offrit. Dans un cri de jouissance, je reçus une giclée de sperme sur les seins, qui fut aussitôt étalée par les trois paires de mains.

Asuivre.....

La prochaine fois,l'histoire se termine....

Par Bidi - Publié dans : bidi
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus