Samedi 6 janvier 6 06 /01 /Jan 18:17

Les mains étaient partout, et moi, je n’en pouvais plus de désir. Mais comme une torture délicieuse, ils m’embrassaient, me caressaient, me léchaient, me suçaient en évitant toujours mon petit fourreau d’amour. Les yeux bandés, les mains attachées, je ne pouvais que subir leur loi, essayant d’imaginer qui tu avais bien pu choisir pour un tel supplice.

Je sentis une présence se glisser derrière moi, son corps nu à présent était en contact direct avec le mien, sa poitrine contre mon dos, ses lèvres sur mon cou, une des ses jambes qui s’insérait entre mes cuisses, les ouvrant encore plus qu’elles n’étaient. Et son sexe, tendu, dur, contre le bas de mes reins ! J’ondulais tant que je pouvais en tentant de ressentir le plus possible de sa peau. J’entendis ta voix, et la leur : des rires,

-         elle n’en peut plus, la pauvre ! on va être obligés de la satisfaire un peu, au moins.

-         d’abord, il va falloir qu’elle nous dise qu’elle aime, allez, dis-le

-         j’aime ! articulai-je

-         qu’est-ce que tu aimes ?

-         j’aime être caressée

-         et ?

-         être embrassée

-         et ?

-         être léchée

-         qu’est-ce que tu voudrais ?

-         que vous me fassiez l’amour

-         mais encore ?

-         que vous me preniez, j’ai envie de sentir vos queues en moi, sur moi, j’ai envie de vous toucher, de vous caresser, de vous sucer

-         pas question ma belle, tu n’as pas le droit de toucher. Mais nous, on ne va pas se gêner. Et tu auras le droit de goûter, aussi.

-         Tu le veux maintenant dans ta chatte, hein ? Tu vas l’avoir.

Ils me détachèrent pour me mettre à genoux. Celui qui était derrière moi m’écarta bien les jambes et s’introduit sans trop de douceur dans mon intimité. Pendant ce temps, son comparse avait pris place devant moi, la tête sur mon entrecuisse, et faisait fonctionner sa langue sur mon bouton, en écartant les lèvres de ses doigts. Des éclairs fulgurants me parcoururent la tête, en proie à un nouvel orgasme.

Et toi, debout devant moi, tu présentas alors ton sexe devant ma bouche. Je me jetai quasiment dessus, affamée que j’étais de pouvoir enfin agir. J’entendais tes gémissements de plaisir. J’avais toujours les mains tenues dans le dos, mais je me sentais bien plus maîtresse du jeu.

Mes mouvements s’accéléraient, ma respiration devenait haletante...

A suivre...
Par Bidi - Publié dans : bidi
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Dimanche 31 décembre 7 31 /12 /Déc 07:55

Je sentis une main se poser tendrement sur mon ventre, et , ô merveille, je te reconnus à ton toucher. Tu descendis vers mon entrecuisse, en frôlant ma peau bien plus qu’en la touchant. Des milliers de petites aiguilles me parcouraient le dos. Je sentis mon sexe se contracter de désir. Tu continuas la descente, jusqu’à ce que tes doigts s’immiscent au creux de moi pour recueillir un peu de ce liquide qui m’inondait. Tu félicitas mes gardiens pour leur efficacité, et tu fis glisser le string le long de mes jambes, en accompagnant le retrait de bisous légers. Tu te mis alors à me caresser aussi, prenant mon bouton entre tes doigts, le pinçant doucement, palpant mes fesses à pleines mains. Je sentis tes doigts s’introduire en moi, j’avais des mouvements de bassin totalement incontrôlés, et tes doigts se faisaient magiques. J’eus encore un orgasme violent, sans pouvoir retenir un cri.

On m’emmena un peu plus loin, on me retira doucement mon chemisier, puis mon soutien gorge et, là, on m’attacha les bras en l’air.

Immédiatement, je sentis mes seins pris par des bouches avides, les langues de mes compagnons s’activant autour de l’aréole, les dents pinçotant le téton. Une autre bouche vint se poser sur mon bouton d’amour, pour le lécher, le sucer, le mordiller. Les trois paires de mains se promenaient partout sur mon corps, ne laissant pas une once de peau qui n’ait été caressée. De temps à autre, ils quittaient leur lieu de dégustation pour venir m’embrasser.

Ils me laissaient gémir et me trémousser toujours sans m’adresser la parole. Je me tortillai de plus en plus en essayant d’introduire par mes mouvements les doigts qui me caressaient.

Les mains étaient partout, et moi, je n’en pouvais plus de désir. Mais comme une torture délicieuse, ils m’embrassaient, me caressaient, me léchaient, me suçaient en évitant toujours mon petit fourreau d’amour. Les yeux bandés, les mains attachées, je ne pouvais que subir leur loi, essayant d’imaginer qui tu avais bien pu choisir pour un tel supplice.

Par Bidi - Publié dans : bidi
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Jeudi 28 décembre 4 28 /12 /Déc 21:02

Une mini jupe, un chemisier, des bas, un soutien-gorge, un string m’attendaient posés sur le lit. Tu m’as dit de m’habiller. Surprenant, jamais tu ne m’avais choisi mes vêtements, même pour une soirée coquine. Un rien amusée, je m’exécutai, pressentant une fantaisie amoureuse qui ne pourrait que me plaire.

Nous étions seuls. Quand je fus prête, tu me dis que nous allions prendre la voiture. Ok, je te suivrais n’importe où, de toute manière.

Je m’apprêtai à monter à l’avant, siège passager, mais tu m’indiquas l’arrière de la voiture. Pire, le siège du milieu. Je m’y installai sans broncher, déjà toute à tes ordres. Pendant un bref instant, je ne compris pas pourquoi tu montais à l’arrière. Mais quand tu me bandas les yeux, j’ai su que tu n’y resterais qu’un instant. Je souris, amusée de la situation. Mes mains se trouvèrent attachées de chaque côté de moi. Tu rejoignis la place du conducteur sans même un baiser sur mes lèvres. Quelle frustration !

La voiture commença son voyage, je me sentais ballottée de droite et de gauche, suivant le chemin qu’elle prenait. Les sensations se firent plus chaotiques et les ballottements plus vifs. La situation telle qu’elle se présentait m’excitait déjà, et je sentais une chaude humidité prendre place au fond de mon string.

Aucune réponse à mes questions. Le véhicule s’arrêta, les portières s’ouvrirent de chaque côté de moi. Je sentis une présence inconnue, un parfum qui n’était pas le tien. Ou plutôt, des parfums qui s’entremêlaient. La voiture redémarra, toujours pas un mot, de personne. J’avais bien essayé de dire bonjour, mais aucune réponse. Bien sûr, je parlais, je n’ai jamais pu m’en empêcher, il fallait bien meubler le silence. Mais je n’obtenais aucune réponse. L’excitation montait tout de même d’un cran, et je sentais des odeurs très sensuelles envahir l’habitacle du véhicule.

A un moment, las de m’entendre bavarder stérilement, tu demandas de me faire taire. Aussitôt, je sentis des lèvres se plaquer sur les miennes, des mains parcourir mon corps, d’autres lèvres embrasser doucement mon cou. Tu semblas satisfait de ne plus m’entendre. Effectivement, je ne pouvais plus rien dire. Les baisers se firent plus profonds, les caresses plus précises. J’avais toujours les mains attachées, et un bandeau sur les yeux, je ne pouvais pas faire grand-chose que d’accepter les hommages qu’on me prodiguait. Et c’était si bon, que pas un moment je n’envisageai de me soustraire aux câlins que je recevais.

La voiture roulait toujours, très doucement, sur une route qui ne devait pas être très carrossable au ressenti des cahots…

Mes mains furent détachées pour se retrouver encore attachées, mais beaucoup plus loin de moi, comme crucifiées. Cette position donnait plus de liberté à mes deux bourreaux pour me caresser.

Ils écartèrent aussi mes jambes, en les maintenant avec les leurs. Les caresses devinrent de plus en plus précises. Ainsi écartelée, j’étais offerte et mon intimité dévoilée.

Les boutons du chemisier furent détachés un à un, accompagnés de petits bisous à chacun d’entre eux. Le soutien gorge subit le même sort. Les caresses prodiguées furent diablement efficaces, et je jouis rapidement sous l’effet des doigts et des bouches qui s’activaient.

La voiture s’immobilisa enfin. Tu en descendis pour ouvrir la portière. Toujours pas un mot pour moi, toujours pas un baiser. Je fus libérée de mes attaches aux poignets et extraite très doucement de la voiture par mes deux gardiens, qui en profitèrent pour caresser mes fesses difficilement accessibles du fait de ma position assise.

Je les devinai en train de contempler le spectacle que j’offrais, là, debout au milieu de ces trois hommes, le corsage défait, les yeux bandés, les mains tenues fermement mais doucement derrière mon dos.

(à suivre)...

Par Bidi - Publié dans : bidi
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Jeudi 21 décembre 4 21 /12 /Déc 21:33
J'aime la tendresse, les bisous qui commencent sur la joue, sur les paupières, qui glissent dans le cou. Les mains qui se faufilent sous le t-shirt, la chaleur du toucher, les baisers qui descendent sur la poitrine, les seins, le ventre.

Tandis que mon ventre et mes seins sont caressés, les tendres lèvres me parcourent l'échine, le long de la colonne, remontent dans le cou, enveloppent mon épaule. Des frissons délicieux me parcourent.

Je voudrais moi aussi le toucher, l'embrasser, mais il se repaît de moi.
Ma jupe glisse le long de mes jambes gainées de bas soyeux. Je sens son sexe tendu contre mes reins, me cambre un peu.

Monsieur change de côté, une main ferme me plaque contre sa poitrine tandis qu'un doigt s'immisce entre mon string et ma peau.
J'embrasse, je caresse et je goûte la peau qui se trouve offerte à mon corps.

Le frottement de ses doigts sur mon sexe m'inonde. Sourire aux front, baiser aux lèvres, Monsieur m'allonge et entreprend de parfaire ses caresses en s'aidant de sa bouche.

Mes doigts dans ses cheveux, Monsieur embrasse, Monsieur lèche, Monsieur titille, Monsieur mordille, Monsieur tète, Monsieur goûte, ses mains sur mes fesses et mon corps qui frémit.

 

Puis il décide de reprendre l’ascension des baisers, le ventre les seins, sa langue sur ma peau se fraye le chemin pour parvenir à ma bouche. Il me mange, me déguste, m’engloutit toute à lui.

 

Ses mains sont partout à la fois, explorant les reliefs de mon corps. Et mon corps qui se tend, se détend  et se cambre et tremble de plaisir. Je n’y tiens plus, je l’attends, je le veux, je l’espère.  Mais Monsieur prend son temps, Monsieur prend plaisir à attiser le désir. Monsieur me contemple dans ma brûlure amante.

 

Et Monsieur investit l’espace de baisers doux et ardents. Il me serre tendrement dans ses bras, et envahit mon corps et mon intimité de sa verge tendue, m’arrachant une plainte. Je gémis de plaisir, je souffle des mots doux.

 

Je ne contrôle plus ni mes reins ni le reste, les spasmes qui me parcourent, nos corps à l’unisson rythment un accord parfait. Plus fort, plus loin, plus doux, plus tendre. Je souris, je gémis, je crie, j’en redemande. Monsieur est très conscient de l’effet qu’il produit. Il m’envahit, il me possède, il me prend, et moi, je suis à lui, entière dans le désir, vibrante de plaisir…….  Aussi loin qu’il le peut, aussi fort qu’il le veut, il me fait jouir, victorieux insolent, empereur de mes sens.

 

Monsieur n’a pas le triomphe modeste,  Monsieur en profite conscient du pouvoir qu’il exerce. Un sourire conquérant sur ses lèvres, ses yeux plantés dans les miens qui se ferment, il sait qu’il me possède… et que j’aime ça.

 

Par Bidi - Publié dans : bidi
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Mercredi 20 décembre 3 20 /12 /Déc 21:56

Il me téléphone pour me dire qu’il a envie de moi, de ma peau sous ses doigts, de sentir mon odeur. Me prédit une surprise. Il arrive, il rentre à la maison…

 

Je suis dans mon bain, voluptueusement allongée dans cette eau chaude. Mes mains parcourent mon corps, l’explorent doucement, le couvrent de caresses. Les yeux fermés, mes doigts s’attardent sur mes tétons, les pressant, roulant leurs pointes durcies. Ma main s’aventure vers mon sexe, je prends mon bouton entre le majeur et l’index, le serrant et le desserrant, tournant autour de ce morceau de chair gourmand. Le pouce prend le relais tandis que les doigts se dirigent vers l’entrée de ma chatte. Je place un doigt, puis deux. Vivement qu’il soit là, j’ai tellement envie de lui, tellement besoin de lui à cet endroit. Ce manque me provoque une brûlure, je le veux, là, maintenant !

 

Un souffle sur mon front, des lèvres sur mes lèvres… « non, n’ouvre pas les yeux… laisse-moi te regarder, continue à te caresser, c’est beau de te voir, c’est si doux de t’avoir à moi. »

Une main se pose sur mon sein, le pétrit, le caresse, une bouche goulue en suce le mamelon.. boit la goutte de lait qui perle, et la main descend, reprend possession de ce corps abandonné.

Il m’aide à me relever, toujours les yeux fermés. Je sors de la baignoire, suis enveloppée dans une serviette chaude, douce, douillette.

Un foulard placé sur mes yeux, doucement…. Mais qui tient le foulard ? ses mains me sèchent de partout, comment fait-il pour se démultiplier ? Ce sont bien des mains qui sèchent mon dos, c’est bien un corps sur lequel je m’appuie pendant qu’il me sèche les jambes… Mais…..

Je suis entraînée hors de la salle, allongée sur le sol. Je sens des mains, des bouches, des jambes, des souffles. J’explore l’inconnu de mes mains, je reconnais ce corps, pas celui-ci. Mes mains apprennent à découvrir comment il est, comment ils sont.

Et ils sont nus… Depuis combien de temps me regardaient-ils dans mon bain ? Depuis combien de temps étaient-ils si durs, si tendus ?

Je rampe pour accueillir dans ma bouche un sexe dressé, tandis que ma main s’agite doucement sur le second membre. Puis je me place devant eux, et tour à tour je goûte et me délecte de leur chair, ma langue tourne autour d’un gland, puis de l’autre, mes mains s’agitent à la base de leur queue, j’engloutis leurs membres et palpe leurs couilles.

Des doigts timides s’aventurent un peu plus loin, se posent sur leur petit trou tandis que je suce et je branle. Puis plus hardis, les pénètrent simultanément. Ma bouche quitte leur tige pour aspirer les boules, doucement, tour à tour, puis revient lécher le gland, engloutir le dard, repart vers l’anus.

Ma chatte est inondée de désir, mon corps tout entier réclame des caresses. Bientôt, ce jeu ne nous suffit plus et mes deux amants se redressent pour venir à ma rencontre. Nos corps ondulent de plaisir en se frôlant, se touchant. Je ne sais plus qui fait quoi, je me sens câlinée, caressée, embrassée, pénétrée… je jouis. Cela redonne de l’ardeur aux deux hommes qui n’en avaient pourtant pas besoin. Une queue me pénètre, me procurant ce plaisir si particulier que j’en frémis….. mes cuisses sont encore écartées et une seconde queue rejoint la première au fond de mon ventre, j’explose. Encore ! j’en veux encore, je ne veux pas que ça cesse, c’est si bon, si fort, si doux, si violent. Mon corps n’est que plaisir et désir à la fois…. Encoooooooore…

 
Par Bidi - Publié dans : bidi
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