Mercredi 18 avril 3 18 /04 /Avr 22:40

Elle est arrivée dans sa jupe fendue, avec sa cape sur les épaules et son chapeau, le regard coquin et un petit sourire énigmatique au coin des lèvres.

Il l’a vu de loin et a sourit. Il n’imaginait pas cela tout à fait ainsi. Elle venait pour une attestation d’assurance, il ne fallait pas qu’il se fasse d’illusions. Au téléphone, il lui avait dit qu’il n’était pas au bureau mais avait son dossier. Elle était pressée de boucler la déclaration.

Il lui avait donc fait une fleur en lui proposant de venir chez lui finir de remplir les papiers.

 

Mais il devait avouer que le dégât des eaux dont il était question lui faisait penser à autre chose de moins sérieux, mais de beaucoup plus plaisant.

 

De son côté, elle avait été émue par la voix qui venait dans son oreille, via le combiné. C’est bien pour ça qu’elle avait insisté pour que le dossier soit bouclé au plus vite. Une légère chaleur s’était emparée de son ventre, de plus en plus précise au fur et à mesure de la discussion.

 

Bref, ils étaient là, l’un en face de l’autre. Ils se dirent bonjour. Curieusement, la bise vint naturellement, spontanément, sans gêne.

 

Il l’accompagna jusqu’à chez lui. Elle ôta sa cape et son chapeau. Et c’est là que tout bascula.

 

Il vit qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Et même, un des boutons de son chemisier s’était ouvert sous l’effet de la poitrine qui gonflait le tissu.

Il eut une subite envie d’elle. Il pressentait que cette envie était réciproque.

Il s’approcha :

-         Je peux vous dire bonjour maintenant ?

Le petit oui timide eut une réponse torride de deux langues qui s’entremêlaient. Deux bouches accolées qui se dévoraient…

Ainsi mêlés, il l’entraina près de la cheminée où le feu crépitait doucement.

Elle semblait à la fois emplie de désir et de gêne, ne sachant si son envie devait être assouvie ou s’il valait mieux qu’elle résiste. Il sentit cette hésitation et décida de passer à l’offensive.

 

Dénouant son foulard, il lui banda les yeux et l’assit sur les coussins, ses mains parcourant les courbes de son « assurée » qu’il se devait de rassurer.

-         Ne bouge pas, je te regarde…

Elle se sentit se mouvoir, entendit des bruissements d’étoffe. Curieusement, alors que le fait de ne rien voir aurait dû l’angoisser, elle se sentait presque rassurée, comme si la suite des événements ne dépendait pas d’elle. Elle ne pu s’empêcher de penser qu’une autruche réagirait ainsi. Un sourire vint alors éclairer son visage, puis soudain un mouvement de recul, d’étonnement.

-         ne t’inquiète pas, c’est juste une queue, la mienne.

Décidément, elle n’était pas dans son état normal ! Ces mots lui avaient décuplé son désir, et ses lèvres s’ouvrirent d’elles-mêmes pour accueillir le membre turgescent et le téter doucement, puis de façon bien plus avide.

 

Ses mains à présent allaient et venaient sur le corps de son amant, pétrissant ses fesses, caressant ses boules, masturbant sa tige. Elle avait des mouvements de bassin totalement involontaires et ressentait dans son corps le plaisir de son partenaire.

Lui ne bougeait presque pas tant elle s’activait. De temps à autre, il la forçait à ralentir le rythme pour faire durer la sensation le plus longtemps possible. Il était debout devant elle et contemplait le spectacle de cette femme qui l’avait en bouche et visiblement était de plus en plus excitée.

 

A un moment, il eut envie de plus de goûter lui aussi à l’intimité de la dame, de participer enfin sans plus être uniquement le jouet de sa bouche. Il fallut se retirer de sa chaleur et ressentir le vide de l’air autour de son gland.

 

-         A moi maintenant. Ne touche pas ton bandeau, je te veux ainsi. Installe-toi au fond des coussins.

Elle s’allongea un peu en gémissant et en cherchant à rattraper la queue qui lui échappait. Il défit totalement le chemisier pour admirer ses seins dont les tétons pointaient, durcis par le désir de son corps.

En saisissant ses cuisses, il la fit basculer légèrement et lui intima l’ordre de s’ouvrir en grand. Ce qu’elle fit. Elle portait un collant soyeux qui interdisait l’accès à son intimité. Se savoir offerte ainsi, sans pouvoir toucher la peau de celui qu’elle désirait, devinant son regard qui se régalait de sa position, de son impuissance aussi, la fit mouiller encore plus.

 

Le nez de l’homme vint respirer doucement entre les jambes, caresser l’entrecuisses ce qui l’excita à un point qu’elle ne savait pas possible.

-         J’ai trouvé le dégât des eaux annonça-t-il, il faut explorer la zone pour colmater la fuite….

Et sans plus attendre, sa bouche se fit plus inquisitrice, brusquement, ses dents saisirent le nylon des collants et le déchirèrent sans hésitation.

Des doigts immédiatement se faufilèrent dans la fente ainsi ouverte et agrandirent la brèche, écartant le string et dévoilant enfin l’antre de la dame.

Elle poussa un cri – de plaisir, de soulagement, d’excitation – quand la langue vint lui lécher ses lèvres, les tirer, les mordiller, les mains à présent avaient fini de déchirer le collant, et le string avait bien failli subir le même sort. La langue agile fouillait le sexe trempé, revenait jusqu’à l’anus, repartait téter le clitoris gonflé, les dents mordillaient les lèvres, juste à l’entrée du vagin. Les doigts assurés pénétraient l’intimité de la jeune femme.

 

Elle n’était plus que plaisir et désir. Encore, encore, oui, comme ça…. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii…Elle hurla son plaisir tandis que son corps entier tremblait de l’orgasme qu’il lui donnait.

 

Il la regarda, ému de son plaisir à elle, et son désir ne fit que s’accroître. Il prit un peu de distance et lui retira le bandeau.

- Maintenant, regarde-moi. Je vais te baiser, je vais encore te faire jouir….

 

Par Bidi - Publié dans : bidi
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Commentaires

ohhh j'halucine a la lecture de ce blog car je m'apelle Bidilove et je bosse dans une compagnie d'assurances !!!!
commentaire n° :1 posté par : bidilove le: 13/10/2008 à 18h55
hummmmmmmmmmmm que de projets en vue
réponse de : le: 20/12/2008 à 08h19
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